The Great Escape Page #3
- APPROVED
- Year:
- 1963
- 172 min
- 1,254 Views
- Hendley s'occupe de a ?
- Pas encore.
Il cherche une pioche pour Danny.
Mais qu'est-ce qui se passe ?
Fermez l'eau ! Enlevez vos mains !
Dgagez !
Mais qu'est-ce qui se passe ?
Arrtez !
Dgagez !
Fermez l'eau !
Allez !
Le pole marche sans arrt.
a empche les Friss de le dplacer.
- Bien.
- Ces carreaux sont brchs.
- Il en faut d'autres.
- Il y a les mmes aux lavabos de la 113.
- a devrait aller.
- Bien.
a va tre duraille, hein ?
Non, quand on est organis.
- On est prts.
Parfait. Juste au milieu des fondations.
Bonne chance.
Pourquoi 17 ?
C'est le 17me tunnel de Danny.
a va ?
Trs bien.
Parfait.
Dehors !
Vous n'tes pas dans votre baraque.
Que faites-vous ici ?
Le mnage.
- Et vous ?
- Je me douche. J'en ai besoin.
Je le surveille. Je suis sauveteur.
Couvrez-vous.
Vous pourriez passer la nuit dehors !
Je vote contre. On a endormi les Fritz
mais avec un truc pareil,
on peut l'avoir dans le dos.
- Ives, asseyez-vous.
- Bonjour.
Commandant Bartlett, capitaine Hilts.
Capitaine MacDonald.
Vous deux, vous envisagez de vous vader.
Qui vous l'a dit ?
MacDonald.
Son travail est de tout savoir.
Nous... nous pourrions en discuter.
a ne vaut que pour deux hommes.
Il est entendu
que toute tentative est soumise
au commandant Bartlett.
Nous n'intervenons pas forcment...
Mais, qu'avez-vous mis sur pied au juste ?
On rampe la nuit, jusqu'
un angle mort, prs des barbels.
On creuse un mtre, en talant bien la terre,
et hop, on sort.
Ives, qui est spcialiste, creuse en tte
et j'parpille la terre derrire moi.
A l'aube, on est sous les barbels,
on gagne les bois... et au revoir.
Quand comptez-vous essayer ?
- C'est pour quand ?
- Oh, cette nuit.
Hilts, le moment est peut-tre mal choisi.
J'ai trois ans de cabane
et j'en deviens dingo.
Je risque le paquet.
a gazera... j'en suis sr.
Bonne chance.
Merci.
- Comment respirerez-vous ?
- J'ai une tige d'acier charnires.
On percera des trous.
Bonne nuit.
Comment n'y a-t-on pas pens ?
Mais du coup on aura
tous les Fritz sur le dos.
Je sais pas.
On est peut-tre trop malins.
Cesser toute tentative
peut persuader les Friss qu'on creuse.
Pourvu qu'ils russissent ! Sinon,
ils seront en cellule pour un bail.
- C'est bien ?
- Merveilleux.
- La terre du camp.
- Celle du tunnel.
O qu'on la mette, ils la repreront.
Sous les baraques ?
La terre y est fonce.
Ils regarderont l.
J'en ai vu un qui mesurait la hauteur.
Colorons la terre du tunnel.
- Y en aura 50 tonnes.
Au moins, pensez clairement.
O diable est Ashley-Pitt ?
On ne peut ni la dtruire ni la manger.
Il faut donc la camoufler.
Je ne vois que a.
On n'est pas exact, dans la marine ?
Je crois avoir trouv la solution.
Il s'agit d'parpiller la terre
du tunnel dans le camp.
Pardi !
Vous permettez...
Regardez,
vous en emplissez ces sacs.
Vous les glissez sous votre pantalon
et, tout en vous baladant,
vous tirez sur ces cordons.
Les pingles sautent.
- Fameux !
- Vous tassez la terre du pied.
Les Fritz n'y verront que du feu.
Sensationnel. Qu'en pensez-vous ?
- On essaiera ds demain.
- Je l'ai fait. a gaze.
Voici ce qu'on va faire...
- un cadeau de la part de Tom.
- Merci.
Vous avez un joli jardin.
Allez. Dpchons-nous.
Parfait.
Mon colonel.
Continuez, messieurs.
C'est une simple inspection.
- Bonjour, commandant.
- Bonjour.
Je regrette que la terre
ne soit pas meilleure.
On s'en arrangera.
Je suis tonn du succs du jardinage.
- Ravi, bien sr, mais surpris.
- Surpris ?
Les aviateurs ne sont pas des paysans
aussi suis-je bahi.
Les Anglais aiment cultiver leur jardin.
Oui, mais pour les fleurs, n'est-ce pas ?
C'est juste.
J'ai la fcheuse impression qu'il sait.
- Possible.
- Vous ne le croyez pas ?
Nous serons vite fixs.
- Bonjour, Bob.
- Andy.
Et voil.
Biscuits, deux paquets.
Caf, deux botes.
Bovril, un pot.
Cigarettes, six paquets.
Confiture de fraises, Sorens.
Confiture de cassis, Cavendish.
Marmelade, moi.
Beurre danois, Von Luger.
Je l'en ai dbarrass.
Oh, oui. Et chocolat hollandais, deux barres.
Tous les colis y sont passs.
Il nous faut le nouveau permis de circuler.
Difficile contrefaire
mais il est indispensable.
Je vais voir a.
de toutes les cartes d'identit
que vous pourrez rafler.
- Donnez-leur du boulot.
- Oui.
Bonne chance.
O est la pompe air ?
La patience est une vertu.
Je sais, mais on ne peut creuser
que trappes ouvertes
et a nous retarde.
- Elle est finie ?
- Bien sr.
- Alors ?
- Dans un jour ou deux.
- a marche ?
- Bien entendu !
- On aura assez d'air ?
- Deux fois de trop.
Mac.
Excellent.
Amenez-la demain soir.
Du feu ?
Merci.
- C'est joli, par ici.
- Oui.
Oh, pardon. En veux-tu une ?
Je la fumerai aprs le service. Merci.
Tiens. Tu as bien des copains, hein ?
- Belle journe.
- Oui, mais il pourrait pleuvoir.
Non.
Ciel rouge le matin alerte le marin.
Le soir, le remplit d'espoir.
Ciel rouge, hier soir.
C'est nouveau pour moi.
J'ai appris a chez les boy-scouts.
- Vous en tiez ? Moi aussi.
- Vraiment ?
- J'ai dix-neuf rubans.
- Moi, vingt.
J'allais avoir mon 20me
quand j'ai d rejoindre
Les Jeunesses hitlriennes.
Resteras-tu soldat, aprs la guerre ?
Oh, non. Je ne suis pas apte.
- Mes dents.
- Tes dents ?
Oui. Je pourrais vous faire
dresser les cheveux sur la tte.
Notre dentiste est un boucher.
Mais ne le dites pas.
un soldat a le droit de se plaindre.
Chez vous, peut-tre, mais ici...
une critique et hop ! Sur le front russe !
Non ? C'est terrible.
Terrible.
Werner,
si nous allions causer dans ma chambre ?
Non. Si Strachwitz me pinait...
J'allais faire du caf.
Du vrai.
Caf, caf, caf.
O est-il ?
Ma grand-mre m'en envoie.
Hein ? Oh, oui, prends a.
Oui. Garde-le.
Non. Faut que je parte.
Garde-le. On est une paire d'amis.
Et quand vous serez au ballon ?
Je dois vous signaler.
Signaler quoi ?
Que nous causions dans ma chambre ?
- Je m'en vais !
- C'est bon. Garde a.
Jamais je ne mangerai tout.
Je regrette. Oublie tout a.
Ceci, vous vous le rappellerez,
est le chant de la fauvette.
Passons la pie-griche,
Lanius nubicus, l'oiseau-boucher.
Elle empale ses ennemis
sur les buissons pineux.
Pas trs sympathique.
Voyons son plumage.
Le dessus noir, de la tte la queue.
Croupion noir et un trait blanc
au-dessus des yeux.
Elle vit dans les lieux boiss...
Asseyez-vous.
Vous trouverez de quoi dessiner.
..dans les lieux boiss,
les oliveraies et les jardins.
Les oiseaux vous intressent ?
Oui. Restez, vous pourriez vous instruire.
J'ai mieux faire.
Son cri est monotone et rauque.
Regardons bien cet oiseau.
Il est tout rond...
un Urlaubsschein.
un passeport. Et un autre.
Lequel est faux ?
- Celui-ci.
- Exact.
Translation
Translate and read this script in other languages:
Select another language:
- - Select -
- 简体中文 (Chinese - Simplified)
- 繁體中文 (Chinese - Traditional)
- Español (Spanish)
- Esperanto (Esperanto)
- 日本語 (Japanese)
- Português (Portuguese)
- Deutsch (German)
- العربية (Arabic)
- Français (French)
- Русский (Russian)
- ಕನ್ನಡ (Kannada)
- 한국어 (Korean)
- עברית (Hebrew)
- Gaeilge (Irish)
- Українська (Ukrainian)
- اردو (Urdu)
- Magyar (Hungarian)
- मानक हिन्दी (Hindi)
- Indonesia (Indonesian)
- Italiano (Italian)
- தமிழ் (Tamil)
- Türkçe (Turkish)
- తెలుగు (Telugu)
- ภาษาไทย (Thai)
- Tiếng Việt (Vietnamese)
- Čeština (Czech)
- Polski (Polish)
- Bahasa Indonesia (Indonesian)
- Românește (Romanian)
- Nederlands (Dutch)
- Ελληνικά (Greek)
- Latinum (Latin)
- Svenska (Swedish)
- Dansk (Danish)
- Suomi (Finnish)
- فارسی (Persian)
- ייִדיש (Yiddish)
- հայերեն (Armenian)
- Norsk (Norwegian)
- English (English)
Citation
Use the citation below to add this screenplay to your bibliography:
Style:MLAChicagoAPA
"The Great Escape" Scripts.com. STANDS4 LLC, 2024. Web. 21 Nov. 2024. <https://www.scripts.com/script/the_great_escape_9297>.
Discuss this script with the community:
Report Comment
We're doing our best to make sure our content is useful, accurate and safe.
If by any chance you spot an inappropriate comment while navigating through our website please use this form to let us know, and we'll take care of it shortly.
Attachment
You need to be logged in to favorite.
Log In